La plus grande victime est le patient ! La méfiance entre les médecins et les patients, qui se traduit par un comportement médical protecteur de la part des médecins, augmente le coût du traitement médical pour les patients. Prenons une de mes expériences personnelles : l'année dernière, lors de la fête du printemps, le premier jour de la nouvelle année, j'ai emmené mon fils à Nanjing pour jouer, il a mangé de mauvaises choses, il a eu des douleurs à l'estomac pendant la nuit, à un peu plus d'une heure du matin, nous sommes allés à l'hôpital pour enfants pour voir la salle d'urgence, devant un enfant fiévreux, une famille de parents et de grands-parents de six ou sept personnes, le médecin a jacassé et jacassé, disant ce que vous devez faire, notre famille est un bébé, vous pouvez le faire si jeune, ne tardez pas, le grand-père de l'enfant a également dit à votre directeur de venir, etc. Il doit être bon, notre famille est un bébé, vous êtes si jeune que vous pouvez le faire, ne tardez pas, le grand-père de l'enfant a également dit à votre directeur de venir et ainsi de suite, il n'y a pas peu de respect et de confiance, le médecin a baissé la tête et a ouvert un grand nombre de tests liés à la fièvre, les laissant aller payer la facture, le dos de plusieurs patients également en raison de l'influence du groupe familial avec le médecin n'est pas très coopératif, le médecin a simplement posé quelques questions sur l'ouverture de l'examen, en fait, je le comprends très bien ! Je le comprends très bien, parce qu'au petit matin du premier jour du Nouvel An lunaire, d'autres personnes sont en réunion de famille ou dorment, mais lui est toujours occupé, et il a rencontré des patients qui ne lui font pas confiance, qui se sentent mal. Lorsque notre tour est arrivé, je lui ai souri gentiment et lui ai dit : "Bonjour, je suis désolée de vous déranger à l'aube du premier jour du Nouvel An, je n'y peux rien, mon fils a très mal au ventre", il s'est figé, nous a regardés pendant une seconde ou deux, a ri joyeusement, vraiment joyeusement, et s'est enquis de l'état de son fils en détail, puis auscultant soigneusement le cœur, les poumons et l'abdomen et effectuant une palpation abdominale, une palpation, puis le cœur, les poumons et l'abdomen. La palpation abdominale, la palpation est également très prudente pour couvrir la main chaude, et enfin ouvert trois tests (sang de routine, urine, selles de routine), après le test a ramené les résultats au médecin où, est de voir qu'une famille nombreuse dans la querelle, a dit ce qui ouvrir autant de contrôle, est de commission quoi, le médecin a répondu à ces tests vous ne pouvez pas faire, signer sur le dossier médical sur la ligne, les résultats des résultats n'ont pas de mots honnêtement aller à la vérification ! Le médecin a répondu que ces tests ne pouvaient pas être effectués, qu'il suffisait de signer le dossier médical. Nous sommes allés chez le médecin pour voir les résultats. Le médecin a dit qu'il n'y avait rien, que c'était une gastro-entérite aiguë, qu'il n'était pas nécessaire de faire une transfusion, mais que vous deviez quand même voyager demain, si vous me croyez, j'ai fait une injection une fois, j'ai dit OK, je vous écoute. Nous avons dépensé moins de 90 dollars ce jour-là. Le lendemain, mon fils était heureux de poursuivre son voyage. En fait, vous donnez au médecin la confiance et l'amitié, le médecin ose vous donner un traitement de confiance, sinon, vous ne lui faites même pas confiance, pourquoi devrait-il prendre la responsabilité pour vous ? Dans de nombreuses maladies, vous avez 1% d'espoir de traitement, et vous ne donnez au médecin que la confiance qu'il ose prendre le risque de vous traiter, de sorte que le médecin à 1% d'espoir peut devenir 99% de réussite, si vous ne faites pas confiance au médecin, et même si vous prenez cela comme du chantage, alors, ce 1% deviendra 100% de mort. Alors, souriez un peu plus et faites un peu plus confiance à votre médecin, et rendez-lui service.

Le patient souffre de toute façon, parce que l'environnement social est si mauvais ! Les personnes sont souvent victimes et n'ont pas de recours à la justice !

Lorsque la relation médecin-patient est tendue, c'est toujours le patient qui est finalement perdant.

Dans les activités médicales, les patients sont toujours vulnérables par rapport aux médecins, et le déséquilibre absolu de l'information détermine le statut inférieur des patients.

Ne vous attendez pas à ce que le choix du médecin par le patient résolve le problème ; le choix du patient n'est rien d'autre qu'une touche d'attention.

Au cours des deux derniers jours, trois médecins du département d'obstétrique et de gynécologie de l'hôpital universitaire n° 1 de Pékin ont été battus par des patientes et leurs familles sans raison apparente. La cause de l'incident était probablement que la mère voulait subir une césarienne, mais après l'avoir examinée, les médecins ont estimé qu'elle ne remplissait pas les conditions requises pour une césarienne et ont recommandé un accouchement normal.

À l'origine, le coût d'un accouchement normal est moins élevé, la guérison est plus rapide et le développement du bébé est meilleur, ce qui est bénéfique pour les patients. Pourquoi les bonnes intentions du médecin sont-elles traitées comme le foie et les poumons d'un âne ? La raison ultime est que les patients ne font pas confiance aux médecins.

Qui est perdant dans cette affaire ?

Le médecin en question a clairement perdu.Fractures de l'orbite et de la mandibule, multiples lésions des tissus mous et manifestations du syndrome de stress post-traumatique. Si les blessures à court terme peuvent guérir, je crains que le traumatisme ne reste à vie.

Le patient et sa famille ont-ils été perdants ?On ne le voit pas en surface, mais on ne le sait pas quand on souffre vraiment. Je ne sais pas comment ils ont le courage de rester dans cet hôpital pour se faire opérer. Bien sûr, les médecins et les infirmières ne vous feront pas de mal intentionnellement, mais vous comprendrez le changement d'attitude à leur égard à partir de ce moment-là. Bien que la profession médicale ne permette pas l'existence d'une "liste noire". Mais je crois que chaque médecin et chaque infirmière a une "liste noire" dans son cœur.

Les médecins sont-ils perdants ?Nous ne sommes que des spectateurs, en colère et en train de crier pendant des jours, et nous ne pouvons rien faire pour changer la situation. Après l'incident, nous devrions faire ce que nous faisons, mais nos cœurs sont encore plus froids. Certains démissionnent par frustration, et ceux qui restent ont de plus en plus de cœur et s'intéressent de plus en plus aux moyens de se protéger.

Le grand public a-t-il été perdant ?Vous avez l'impression de rester à l'écart, mais c'est vous qui perdez le plus.

Les bons médecins sont tristes et ont perdu leur éthique de travail.

Les grands médecins changent de carrière et cessent de le faire.

Les meilleurs étudiants ne veulent plus étudier la médecine.

Les médecins ne vous donneront plus les conseils les plus experts et les plus adaptés à votre situation. Au lieu de cela, ils vous écoutent sur tout.

Les médecins cesseront également de prendre de grands risques pour vous sauver la vie, parce que la maladie et la mort sont des choses qui n'existent pas.Elle devrait l'être, et une réanimation infructueuse est un passage à tabac.

Si les patients et les médecins se traitent en ennemis dès qu'ils franchissent la porte de l'hôpital, qui sera réellement perdant ?

La vie est comme un miroir ; si vous lui souriez, il vous sourira.

Être gentil avec son médecin, c'est être gentil avec soi-même.

Nous vous invitons à suivre les conseils du Dr Cheng et à vous concentrer sur les problèmes de santé qui vous entourent.

Les médecins et les patients auraient dû être des compagnons d'armes intimes, leur ennemi commun n'est qu'un, à savoir la maladie, mais, je ne sais pas à partir de quand, les médecins et les patients ont progressivement tendance à tendre la relation entre les médecins et les patients dans le passé, le type d'harmonie qui existe dans la relation médecin-patient en général n'existe plus.

La tension entre les médecins et les patients, la raison la plus fondamentale est que les médecins et les patients ont perdu la confiance la plus élémentaire entre les médecins et les patients, la confiance entre le médecin et le patient est au cœur de la relation médecin-patient, il n'y a pas de confiance mutuelle, il n'y a pas de compréhension mutuelle, mais aussi la perte de la tolérance mutuelle, j'ai dit dans l'article "Quels sont les principaux problèmes qui affectent la relation médecin-patient ? Dans mon article "Quel est le principal problème affectant la relation médecin-patient ?", j'ai dit une fois que la compréhension, la tolérance, la confiance, sont les questions les plus importantes affectant la relation médecin-patient, la confiance mutuelle, dans la construction d'une relation médecin-patient harmonieuse est très importante.

Ainsi, avec la perte de la confiance la plus élémentaire entre le médecin et le patient, qui sera finalement perdant ? Le médecin ? Ou le patient ? Ou plutôt, qui sera finalement lésé par la méfiance mutuelle entre médecins et patients ?

Ma réponse est qu'une relation médecin-patient qui a perdu sa confiance finira par nuire à la fois au médecin et au patient, et il n'y a pas de gagnant dans une relation médecin-patient tendue !

Si le patient perd confiance dans le guérisseur, il se méfiera de tous les traitements, programmes et suggestions faits par le guérisseur au cours de la consultation et du traitement, et passera même de la méfiance au questionnement, à la résistance, à la confrontation, à l'hostilité. Par exemple, si le médecin lui fait passer un test ou utilise un traitement, il se demandera : "Est-ce nécessaire ?" et "Est-ce efficace ?". "Est-ce efficace ou non ? "Le médecin essaie-t-il de gagner plus d'argent sur mon dos ?", etc. Il ne coopérera pas au traitement. etc., il ne coopérera pas au traitement et, dans les cas extrêmes, il grondera le médecin, ce qui affectera inévitablement la consultation médicale et le traitement, ainsi que les résultats médicaux finaux. Par exemple, un patient souffrant de douleurs thoraciques s'est rendu au service des urgences de l'hôpital, le médecin lui a fait passer un électrocardiogramme, les manifestations d'ischémie myocardique, le médecin a proposé de recommander un examen plus approfondi, mais le patient n'a pas confiance dans le médecin et a peur de dépenser de l'argent (il soupçonne le médecin de vouloir gagner plus d'argent), il a refusé l'avis du médecin, et le résultat est que trois jours plus tard, le patient est décédé subitement d'un infarctus. Les cas de ce genre abondent, vraiment, si vous ne faites pas confiance au médecin, parfois la "perte" ultime est la leur.

Les patients ont perdu confiance dans le personnel médical et, de la même manière, leur feront du mal. Ces dernières années, on a assisté à un flot ininterrompu de litiges médicaux et d'incidents violents impliquant des médecins, dont beaucoup sont dus au fait que les patients (membres de la famille) ont perdu confiance dans le personnel médical et ont fini par recourir à la violence.

La perte de confiance du patient dans le prestataire peut nuire à la fois au prestataire et au patient, et la perte de confiance du prestataire dans le patient peut également nuire au prestataire et au patient.

Les médecins n'ont pas confiance dans le patient, la performance la plus importante est d'adopter un traitement conservateur et préventif, de ne pas avoir de mérite mais de ne pas avoir de défaut, les tests risqués n'osent pas être effectués, les opérations chirurgicales risquées n'osent pas être effectuées, les traitements risqués n'osent pas être effectués, la "grande vérification" est le fait que le médecin a perdu confiance dans le patient en raison d'une sorte d'autoprotection et de précaution impuissante, certains traitements et opérations risqués mais efficaces sont également dus au fait que le médecin n'a pas confiance dans le patient et qu'il y renonce, ce qui nuira inévitablement aux intérêts des patients et intensifiera le conflit entre les médecins et les patients. Les traitements et les interventions chirurgicales risqués mais efficaces le sont aussi parce que le médecin ne fait pas confiance au patient et qu'il y renonce, de sorte que les intérêts des patients seront inévitablement lésés, ce qui exacerbera le conflit entre les médecins et les patients. Le médecin, en raison d'un traitement conservateur, a porté atteinte aux intérêts du patient, ce qui a inévitablement élargi le fossé entre les médecins et les patients, renforcé la méfiance entre les médecins et les patients, ce qui a ramené au premier niveau la méfiance du patient à l'égard du médecin et, en fin de compte, le médecin lui-même en a souffert.

La confiance entre les médecins et les patients est réciproque, réciproque, l'atteinte aux intérêts d'une partie ne peut que nuire à l'autre partie, car les médecins et les patients étaient à l'origine des compagnons d'armes, ils n'ont qu'un ennemi commun, c'est-à-dire la maladie !

Ayez un peu plus confiance les uns dans les autres !

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De toute façon, je n'y perds pas, car je n'y vais jamais.

Apprendre et transmettre la médecine populaire à base de plantes, s'auto-médicamenter et s'autogérer en cas de maladie, économiser de l'argent et des soucis.

La tension entre les médecins et les patients, et en fin de compte les deux perdants, le patient ne fait pas confiance au médecin, ne peut pas obtenir un traitement précis, le retard est leur propre condition, le médecin ne fait pas confiance au patient, la peur, le manque d'humanité et conduire à des conflits affectent leur réputation et l'avenir, donc en fin de compte une situation perdant-perdant, et le patient en tant que groupe défavorisé de la partie, la perte de la face sera relativement importante.

Les blessures répétées subies par les médecins s'expliquent par un manque de confiance et de respect de part et d'autre.

Bien que l'État ait renforcé le contrôle des "fautes médicales", les incidents liés à des "blessures causées par des médecins" sont toujours mis en scène de manière répétée, ce qui est alarmant. Cette situation est davantage due à l'effusion de sang causée par les conflits entre les médecins et les patients, dont l'origine est un manque de confiance et de respect à l'égard des médecins. Les patients pensent que les médecins ne font pas de leur mieux et qu'ils ne font pas du bon travail, et ils pensent que les médecins demandent de l'argent sans discernement et qu'ils sont inhumains. Les médecins ne font pas confiance aux patients, mais ils craignent aussi pour leur propre sécurité, ils ont peur que les patients s'enfuient pour se faire déduire de l'argent, ils ont peur que les patients cachent leur état de santé, etc.

Derrière le black-out répété des médecins se cachent les plaintes impuissantes, pleines de sang et de larmes, des patients.

Nous pouvons voir, sur le réseau, un grand nombre de "médecins noirs", en prêtant une attention particulière à leurs remarques, on peut se faire une idée de ce qui se passe en coulisses. En fait, de nombreuses personnes se plaignent de sang et de larmes, ont subi des soins médicaux excessifs, ont prescrit des médicaments sans discernement, ont facturé sans discernement, ont fait traîner la maladie en longueur, etc. En tant qu'élément important de la relation médecin-patient, les médecins subissent de plein fouet la colère des gens qui se plaignent à chaud.

Les médecins et les patients sont tous deux des victimes, et tous deux souffrent s'ils ne s'attaquent pas aux problèmes de confiance

Bien que l'État ait renforcé les sanctions en cas de "préjudice causé aux médecins", la question fondamentale reste de savoir comment résoudre le problème de la confiance entre les médecins et les patients. Des mesures doivent encore être prises au niveau de la confiance, telles que l'introduction d'une assurance commerciale, la séparation réelle de la médecine, de sorte que le médecin et l'argent ne soient plus liés au médecin spécialisé dans le traitement des patients, l'assurance étant responsable du paiement de la facture ; la transparence des honoraires, la traçabilité des médicaments, etc ;

Renforcer l'orientation éthique du médecin, façonner activement la réputation et se concentrer sur l'éthique médicale ; les patients guident la médecine rationnelle, la science et l'éducation des patients pour faire tomber les barrières de l'information, améliorer la qualité, créer un environnement harmonieux, etc.

Bienvenue dans l'échange commun pour l'apprentissage d'une posture saine.

L'affirmation selon laquelle la relation médecin-patient est tendue n'est en fait étayée par aucune donnée importante, et nous ne pouvons pas dire qu'un certain cas individuel est un phénomène courant.

À l'ère de la gestion de plus en plus standardisée, les médecins sont également les mêmes, l'attitude des médecins est maintenant je ne sais combien de fois meilleure, je me souviens quand j'étais enfant, j'avais peur d'aller à l'hôpital, les petites maladies sont données à l'attitude brutale du médecin effrayé dans une grande maladie.

J'ai accompagné ma mère à l'hôpital à de nombreuses reprises, et l'éthique médicale et l'attitude des médecins sont très bonnes, de sorte que j'approuve toujours les médecins.

En ce qui concerne la relation médecin-patient, je pense que nous devons d'abord faire confiance au médecin, nous allons voir le médecin, si vous ne lui faites pas confiance, il est très difficile d'obtenir un bon résultat, donc en fin de compte, les perdants sont eux-mêmes.

Bien entendu, nous n'excluons pas que l'éthique médicale d'une vie individuelle soit médiocre et que ces médecins finissent par briser leurs propres bols de riz.

La relation médecin-patient est aujourd'hui tendue, et ce principalement pour deux raisons :

Premièrement, les hôpitaux et les professionnels de la santé font preuve d'une grande irresponsabilité, violant les réglementations en vigueur, allant même jusqu'à enfreindre la pratique médicale et l'éthique professionnelle des médecins, causant ainsi de graves pertes financières ou des préjudices injustifiés aux patients. Cela conduit les patients à intenter des procès partout et à éprouver du ressentiment.

Deuxièmement, la partie du patient est déraisonnable, allant même jusqu'au chantage, de sorte que le comportement médical normal d'origine est devenu un outil pour gagner de l'argent, et s'est intensifié, obligeant les hôpitaux et les médecins à payer des compensations et à prendre leurs responsabilités. Les médecins et les hôpitaux n'ont pas l'esprit tranquille, ils ont mal à la tête.

Il y a quelques années, j'ai représenté un centre de santé dans un litige médical. Un patient était dans un état très grave et, comme il était loin d'un grand hôpital, il a d'abord été transporté dans un centre de santé de canton pour y être réanimé. Ce dernier a fait de son mieux pour sauver la vie du patient, mais n'y est finalement pas parvenu.

Il s'agit d'un phénomène médical normal et l'hôpital n'a rien à se reprocher pour avoir été actif et avoir traité le patient. Le décès du patient après l'échec du sauvetage est également dû à sa propre maladie.

Cependant, la famille du patient a estimé par la suite que c'était la faute médicale du médecin qui avait entraîné le décès du patient, et a donc intenté un procès partout et s'est rendue à l'hôpital pour perturber l'ordre médical normal de manière déraisonnable.

Plus tard, après identification, l'hôpital n'a pas été tenu pour responsable. Mais la famille du patient n'était toujours pas convaincue et a intenté un procès. Le premier procès, le deuxième procès, finalement, bien que l'hôpital soit le même à gagner et à terminer, mais parce que le procès coûte trop de ressources humaines et matérielles, la direction de l'hôpital m'a dit face à face : à l'avenir, ces patients critiques ne seront pas admis, mais laissés à d'autres hôpitaux pour le traitement, afin d'économiser les ennuis.

Si c'est vraiment le cas, je pense que l'augmentation des litiges entre médecins et patients et des conflits médicaux ne peut qu'être défavorable aux patients, et ce sont les patients qui en souffriront en fin de compte. Par conséquent, les conflits médicaux doivent être résolus de manière raisonnable et légale, et ne doivent pas être déraisonnables, sans parler du chantage. Sinon, la malchance reste du côté du patient.

Je suis médecin et je vais vous donner une réalité sanglante. Comment la relation médecin-patient est en train de bousiller les patients ordinaires. Je me souviens vaguement du tollé national suscité par l'incident vaccinal de l'année dernière et, à l'époque, je me suis souvenu du fiasco provoqué par la crise de défiance à l'égard des vaccins aux États-Unis, il y a plusieurs dizaines d'années. Comme prévu, certains parents ont refusé de se faire vacciner, certains fabricants ne sont pas disposés à produire le vaccin, à l'heure actuelle, le pays n'a que le DPT en rupture de stock partout, autour de l'exemple réel d'un enfant vacciné à l'hôpital qui n'a pas le DPT, ce qui fait que les deux enfants à la maison sont infectés par la coqueluche et qu'ils ont encore le droit de se défendre. Il s'agit d'un exemple, mais ce n'est certainement pas la fin, car ce n'est que le début ! Les exemples réels n'acceptent pas la réfutation.